Derrière le succès de nos créations hors du temps, une grande famille de maîtres horlogers

Horloger prototypiste

Bricoleur averti depuis son plus jeune âge, Daniel a toujours eu envie de faire quelque chose de ses mains. Durant son temps libre, il est photographe animalier, une activité qui demande une grande patience. C’est cette patience qu’il met à profit tous les jours au sein de notre atelier pour contourner les obstacles et arriver au résultat escompté. Ce qui lui tient à cœur, c’est cet art de maîtriser l’invisible, cette quête de l’excellence qui lui permet de sublimer chaque création dans les moindres détails, même ceux que l’on ne voit pas. Une passion pour le travail artisanal qu’il partage chaque jour avec les autres maîtres horlogers et décorateurs de la Maison

Horloger grande complication

Lorsque Sandrine a pris des brucelles en main pour la première fois, elle a eu l’impression d’avoir revêtu des gants de boxe. C’est ce qui lui plaît tant dans l’horlogerie, la minutie que demande le travail de chaque élément et la satisfaction ressentie après une action délicate réussie. Passer beaucoup de temps sur des opérations aussi minutieuses et arriver au résultat souhaité lui apporte énormément de joie. Ce qu’elle apprécie tout particulièrement, c’est l’écoute et la bonne communication au sein de notre Maison, mais aussi l’apprentissage quotidien, motivé par le souci permanent de repousser les limites du possible.

Décorateur mouvement

Khaled, notre décorateur mouvement, vit sa plus belle aventure à nos côtés. Pour lui, la Maison Biver, c’est une famille qu’il est heureux de retrouver chaque matin. Il aime relever les défis au quotidien et repousser toujours plus les limites de l’art horloger, à l’image du degré d’exigence que demande la création de pièces complexes comme le carillon tourbillon. Ce sont ses mains qui subliment chaque détail du mouvement, même ceux invisibles, dans une quête inlassable de la perfection.

Horloger prototypiste grande complication

Une répétition minute doit avoir un son impeccable, long et riche. Étant musicien, Mathieu trouve la mise en fréquence des timbres passionnante. Le réglage est complexe et se fait à l’oreille, mais il apprécie cette difficulté, même quand il faut prendre en compte les goûts et préférences du client final. Il sait qu’il doit préparer des garde-temps taillés pour l’éternité, et donc faire en sorte qu’ils ne s’arrêtent jamais. Il doit également composer une œuvre qui puisse être réparable dans le futur, quel que soit le niveau de l’horloger qui la prendra en charge.